Un jeune elfe entre dans la taverne de bruuk......

Un jeune elfe entre dans la taverne de bruuk, commande une biere, il s'installe a une table et demande aux personnes présentes si l'une d'entre elle connait un elfe chevauchant un bellier dont le but est de restaurer la paix entre l'alliance et la horde.

Voyant qu'il était connu de la pluspart, l'elfe se présente et explique les raisons de sa présence :

Citation :

-Je traversais la fôret d'Ashenvale en direction du Pic des Serres-rocheuses lorsque je vit un orc, accompagné d'un ours au comportement étrange dans la ville d'Astranar, plusieurs personnes étaient deja sur place et j'ai tenté de communiquer avec l'orc de facon a éviter le conflit. Qulelque minute apres, cet homme est venu me voir et nous avons discuté. j'ai compris que nous avions certaines valeurs en commun et c'est alors qu'il m'a parlé de son clan, et m'as dis que j'en trouverait des membres dans cette taverne.

Voyant qu'il a frappé a la bonne porte l'elfe se met a parler un peu de lui :

Citation :

-Je me nomme donc Eraentil, Je me suis réveillé il y a quelque mois de cela dans la ville de Dolanaar sans savoir ou j'étais ni qui j'étais, et on m'a expliqué qu'on m'avait ramassé dans la foret bléssé la veille. J'ai découvert un monde de conflit et apres un mois a réfléchir et essayer de savoir d'ou je venais je me fit une raison, je ne pouvait rester la et attendre mon passé en vain. Je regardait vers l'avenir en me disant qu'il n'était pas trop tard pour ecrire mon histoire. Je n'ai jamais connu le monde tel qu'on me l'as decrit et je veut le connaitre, par consequant je partage votre objectif de restaurer la paix. Quels que soient les maux de ce monde je suis persuadé que la guerre n'y pourra rien. Meme les victoires de la guerre font des plaies que seule la paix peut guerrir.

L'elfe finis sa bière et en commande une autre attentif a la réaction des autres sur ce qu'il vient de dire.

Sirotant une choppine du désormais fameux grog a la cerise du tavernier de la garde militaire d'Ironforge, melynn sembla agréablement surprise par les paroles du jeune elfe.

"Les valeurs dont vous parler avec tant de conviction sont precieuse aux yeux de tous ceuxqui partage cette tablée Eraentil, asseyez vous donc avec nous."

Melynn attendit que l'elfe ait pris place pour lui offrir un grog et lui confia :

"Si nos routes convergent, autant faire le chemin ensemble !"

Melynn emit un large sourire en direction de l'elfe et engagea la conversation sur sa vision de la paix, tentant de s'efforcer de repondre a toutes les questions qu'il se posait sur la nature et la situtation de ce monde qui lui était presque inconnu ... il est si vaste ... et si complexe ...


Melynn

Assit dans un coin de l'auberge avec ses compagnons, l'elfe leve son grog a l'arrivée du visiteur.

- Je vois que vous avez trouvé le chemin de notre repaire *sourit*
Installez vous je vous en prie.

*Feare entra chez Bruuk*

Il regarda autour de lui ... et murmura à Gardhran ...

Euh ... qui est le mort en sursit qui parle à Melynn ?

En arrivant aux Forges le barde fut une fois de plus désagréablement écoeuré par l'odeur de métal en fusion qui se mêlait à la sueur et à la silice fondue. Cette cité n'était vraiment pas à son goût. Cependant, à force d'y venir, il s'était fait sa place dans la taverne de maître Bruuk et finissait par s'y sentir bien. Il évitait toutefois de soumettre sa pauvre Galisha, sa monture, aux vapeurs délétères qui émanaient de la roche en fusion ou des diverses industries qui fleurissaient un peu partout et ne l'invoquait ici qu'a minima.

Il repéra immédiatement dame Melynn en passant le seuil de l'établissement. Le temps d'un battement de coeur ce qu'ils avaient vécu ensemble lui revint en mémoire. A l'époque elle n'était pas encore amoureuse du seigneur Feare, aussi ne nourrissait-il aucune culpabilité à évoquer les moments de tendre complicité qu'ils avaient partagés. Elle n'avait pas changé : toujours ce regard d'azur envoûtant et cette douceur dans les mots et dans la voix. Son charme ne se démentait pas et même si l'un et l'autre avaient, depuis, fait leur chemin, le souvenir était toujours aussi agréables à évoquer.

Le seigneur Feare était là, ainsi que Gardhran et un jeune Elfe. Feare jetait sur dame Melynn des regards de propriétaire auxquelles elle ne resterait sans doute pas longtemps insensible et que l'inconnu ne pourrait qu'enregistrer. Le barde s'en amusa secrètement, salua les uns et les autres et alla prendre sa place en se signalant à maître Bruuk qui connaissait ses goûts.

Avec trois conseillers réunis sous ses yeux, il était l'heure d'ouvrir grandes ses oreilles et tous ses sens et d'apprendre ce qu'était l'exercice de l'autorité au sein de la Main d'Argent. Un jour peut-être... ça pourrait lui servir. Il se cala confortablement et écouta, encourageant le jeune Elfe d'un sourire ou d'un regard à poser les questions qui lui venaient et à s'ouvrir à eux de ce qu'il était hormis un volontaire pour intégrer leur famille.

J’avais beaucoup de mal avec les grandes villes, mais Ironforge était la pire de toute je pense.
Ce vacarme incessant, ces gens obligés de crier pour se faire entendre, cette odeur nauséabonde alors pourquoi venir ici me diront certains ?
J’avais décidé de ne plus faire mon asociale, et par conséquent de me rendre de plus en plus dans cette taverne dont tout le clan parlait et puis je devais déposer un colis dans le coin.
J’aperçois au loin la taverne, et perdue dans mes pensées je marche dans sa direction quand soudain des cris m’extirpe de ma rêverie.

" ATTENTION "

Effectivement un homme à cheval se dirige sur moi comme un aigle fond sur sa proie, me laissant juste le temps de faire un mouvement de recul manquant tomber afin de l’éviter.

" Et bien z’avez échappé d’peu ma p’tit dame "

Me dit un marchand ambulant, je me retourne le regarde bêtement encore sur le choc, oubliant presque de le remercier.
Je respire un bon coup avant de continuer mon chemin le teint légèrement blafard, je reste là devant cet édifice le temps pour moi de reprendre un peu de couleur et je pousse la porte de la taverne.
J’aperçois Feare à qui je souris tout en saluant la tablée, je me retourne embrassant la salle du regard, quand soudain a une autre table je crois reconnaitre une personne qui ne m’est pas inconnue, je me dirige vers elle.

« Bonjour a vous Messire CrileLoup, quelque chose ne va pas ? »

Dis je en regardant la table qu’il fixait.

"Oh, dame Edwminea ! C'est un honneur et un plaisir !" lança le barde visiblement pris au dépourvu. "A vrai dire il me manquait quelque chose mais... c'était avant que vous n'arriviez." répondit-il à la question de la jeune Elfe avec un sourire enchanté et une pointe de malice.

Ôtant les pieds de la chaise qui lui faisait face, le barde se hâta de l'épousseter avant de la disposer de sorte que son amie passe quelques instants avec lui.
"Eche, pousse-toi mon bonhomme, laisse la place à notre amie, tu t'étales vraiment beaucoup" dit-il à son lion en le repoussant doucement du pied. Ce dernier, repu par des quantités phénoménales de viande ingurgitée, se contenta de se laisser mollement glisser sur le flanc. Il libéra tout juste l'espace nécessaire au confort de leur invitée avec un grognement qui simulait à la perfection un épuisement total.

La place ainsi dégagée, le barde invite la jeune Elfe à s'asseoir et lui sourit tant pour s'excuser de ce léger délai que pour la mettre en confiance en lui témoignant son plaisir sincère de la revoir si vite.
"Edwinea... je voulais vous remercier encore pour cette charmante soirée d'hier. C'était vraiment très agréable et j'aurais plaisir à renouveller cette expérience... si le coeur vous en dit bien entendu. Voulez-vous goûter un grog à la cerise ?"

Shaana n'aimait toujours pas Ironforge. Et toujours pas cette taverne.
Si elle y passait de temps à autre, c'était uniquement parceque son Clan y avait établit son repaire.

Bruuck ne l'aimait pas, elle le savait bien, parcequ'elle ne consommait jamais. Elle se contentait de s'asseoir, et d'observer, écoutant les conversations, appréciant simplement la présence de... sa famille.

Son ouie développée par des années d'errance dans les forêts ne pu l'empêcher de saisir le contenu du murmure de Feare.
Son regard se porta sur le guerrier, et elle ne pu retenir le sourire qui lui montait aux lèvres.

Lui qui critiquait tant Takaris, portait sur Melynn le même regard, rempli de jalousie et de possession, et avait les mêmes réactions. Enfin presque... Avec Takaris, CrileLoup serait mort depuis longtemps.

En écoutant le nouveau venu d'une oreille distraite, elle laissa son esprit vagabonder à la rencontre de son Elfe, un léger sourire rempli de tendresse sur les lèvres...

Bruuk adresse un large sourire à la jeune humaine au regard si doux et aux yeux pétillants qui vient d’entrer dans sa taverne. Elle s’incline légèrement pour saluer le Maître nain. Elle porte à présent un tabard bleu avec un arbre couleur argent. Elle se dirige timidement vers la table des conseillers. Attendant qu’on l’invite à s’asseoir.

A peine arrivée à la table que voilà Bruuk, lui apportant son grog à la cerise qu’elle apprécie tant. Bruuk pousse la chaise de Feare pour que la jeune Humaine s’installe plus aisément à coté de celui ci.

- Alors Feare !
Hurle Bruuk .
- Tu ne vois pas que tu empêches damoiselle Fany de s’asseoir pousses toi un peu.
Fany gênée, rougit, et salue avec timidité.
- Bonsoir Dame Melynn, Dame *regarde Edwminea*, Gardhran, Feare, Cil, Shaana …
Bruuk tire la chaise pour qu’elle y prenne place
- Merci Maître Bruuk.

Fany sourit doucement à l’elfe inconnu assis avec sa nouvelle famille.

Bruuk s’en va chercher un livre bleu veiné d’argent. Et le dépose devant Fany.

- Oh ! Merci de cette attention Maître Bruuk.

Fany sourit tendrement au maître nain qui devient rouge d’émotion.

Les membres du clan et les clients regardent de plus en en plus bizarrement le tavernier cherchant à comprendre de quelle maladie il pouvait être atteint. Fany prend le livre sur ses genoux posant délicatement ses mains ses mains dessus. Une fois la conversation repris, Fany l’ouvre et commence à le lire tout en suivant la discution.

CrileLoup a écrit:

"Oh, dame Edwminea ! C'est un honneur et un plaisir !" lança le barde visiblement pris au dépourvu. "A vrai dire il me manquait quelque chose mais... c'était avant que vous n'arriviez." répondit-il à la question de la jeune Elfe avec un sourire enchanté et une pointe de malice.

Ôtant les pieds de la chaise qui lui faisait face, le barde se hâta de l'épousseter avant de la disposer de sorte que son amie passe quelques instants avec lui.
"Eche, pousse-toi mon bonhomme, laisse la place à notre amie, tu t'étales vraiment beaucoup" dit-il à son lion en le repoussant doucement du pied. Ce dernier, repu par des quantités phénoménales de viande ingurgitée, se contenta de se laisser mollement glisser sur le flanc. Il libéra tout juste l'espace nécessaire au confort de leur invitée avec un grognement qui simulait à la perfection un épuisement total.

La place ainsi dégagée, le barde invite la jeune Elfe à s'asseoir et lui sourit tant pour s'excuser de ce léger délai que pour la mettre en confiance en lui témoignant son plaisir sincère de la revoir si vite.
"Edwinea... je voulais vous remercier encore pour cette charmante soirée d'hier. C'était vraiment très agréable et j'aurais plaisir à renouveller cette expérience... si le coeur vous en dit bien entendu. Voulez-vous goûter un grog à la cerise ?"

" Inutile de me remercier, tout le plaisir était pour moi. "

* Elle sourit au barde puis se tourne vers Eche *

" Ravie de t'avoir encontrer aussi Eche, d'ailleur j'ai quelque chose pour toi. "

* Elle farfouille dans sa besace et en sort un paquet quelle donne a Crileloup, puis s'apperçoit qu'elle n'a pas répondu à la question de l'elfe. *

" Oui oui !!! enfin oui ... "

* Et bien elle avait du mal à se faire comprendre la petite, respirer calmement ne pas se précipiter, et surtout ne pas bafouiller de la sorte, reprendre ses esprit et éviter de rougir était ses mots d'ordre dans la situation présente. *

" ... Je voulais dire oui je veux bien gouter le grog à la cerise. "

Ah, décidément il avait du mal à la mettre à l'aise. Il en vint même à penser qu'il ferait mieux de ne pas lui sourire mais ça... il aurait fallu qu'il soit un autre. En tous cas il percevait nettement dans cette multitude de "oui" un écho à sa propre envie de faire plus ample connaissance et s'en trouvait ravi. Il adressa un signe à maître Bruuk qui se remettait à peine de ses émotions : "deux".

- "Dame Edwinea, détendez-vous, vous n'avez que des amis ici." commença-t-il d'une voix douce. "Pour Echeyakee, je ne sais pas s'il mérite un cadeau mais comme il vient de vous.... on ne va pas refuser un présent des mains d'une jolie dame hein mon gros chat ?"

L'intéressé releva son énorme tête, jetant à tous deux un regard un peu flou avant de replonger illico dans son simulacre de sommeil. Seules ses narines frémissantes et son oreille dressée révélaient un intérêt bien réel pour le colis échangé.

Recevant le paquet des mains d'Edwinéa, CrileLoup le pose sur la table, évitant de renverser les verres que maître Bruuk apportait au même instant. Puis il en fait rapidement céder l'emballage sous les coups précis de son couteau de dépeceur. Mais à l'instant de le révéler à la vue de tous il jette un oeil malicieux à sa complice et prononce sans forcer sa voix mais avec un ton un peu provocateur à l'adresse de qui l'entendrait :

- "On le montre à tout le monde ?"

Dans l'instant il se dit qu'il prenait le risque de la faire rougir et bégayer un peu plus mais après tout... ça ne la rendait que plus touchante. A lui ensuite de savoir la mettre à l'aise de nouveau. Elle était décidément adorable et l'entreprise lui paraissait charmante. Un coup d'oeil à sa Nilianée lui rappella qu'il faudrait juste qu'il prenne le temps de la présenter à qui de droit afin de lever toute ambiguïté.

Et puis... elle avait besoin de bottes.

Elle pouvait être touchante, paraître fébrile ou bien être taquine mais il y avait des sujets sur lesquels elle avait beaucoup de mal, entre autre de parler de relation avec autrui.
Pour elle amitié et amour rimait avec trahison, elle a fait des erreurs par le passé qu’elle ne veut pas réitérer.
Aussi elle regarde Crileloup avec ce je ne sais quoi dans les yeux, si je devais au mieux le décrire je dirais qu’elle a le regard d’une bête sauvage qu’il faut apprivoiser, ou plutôt qui a connu une expérience des plus douloureuse et qui avant d’être apprivoisée doit être en confiance.

" Je vais vous paraître brutale mais ce ne sont pas des amis, tout comme je ne suis pas la leur, ou alors ils ont une conception de l’amitié bien étrange.
Nous sommes juste un groupe de gens partageant une même idéologie qui peut certes paraître utopique pour certain.
Voilà ce qui nous rapproche, peut être plus tard nous pourrons parler d’amitié. "

Elle reste là craignant sa réaction, se faisant toute petite sur sa chaise, mais au moins elle avait dit ce qu'elle pensait, pour elle c'était le principal .... être sincère.

Allons bon, voilà autre chose !

Le barde est pris au dépourvu avec son colis à moitié déballé. Quelle conduite adopter pour apprivoiser cette âme rebelle qui venait de se révéler à lui si soudainement ? A quel moment avait-il perdu le contrôle au point de la choquer ainsi ?

Il la regarde. Son sourire, un instant suspendu, revient lentement. Probablement allait-il trop vite et trop fort. A ce rythme il allait la perdre. Le regard et la posture de son amie étaient ceux d'un petit animal blessé qui craignait une réaction violente. Violent il l'avait été par ses mots d'une certaine façon. Involontairement il l'avait brusquée et il en payait le prix. Il lui fallait maintenant choisir entre prendre acte et finir là ou tenter de réparer ce qui avait été brisé.

Quelle mauvaise image avait-elle donc de l'amour et de l'amitié ? Quel voile passait dans son regard ? Que signifiait cet éclat terni qui obscurcissait par instant ses yeux brillants ? Il y lisait... une forme de détresse oui, une sorte d'envie d'y croire, de ne pas se laisser aller aussi : une volonté de vivre et de surmonter un mal être. Serait-il présent ? Saurait-il lui accorder du temps et préserver leur complicité joyeuse tout en lui donnant les moyens de chasser ce qui la hantait ?

Elle était là. Elle était venue vers lui. Elle avait exprimé sa pensée avec droiture à défaut de justice. Il ne voulait y voir que spontanéité d'un esprit blessé. Et surtout, surtout, elle avait laissé la porte ouverte.

Il ne réfléchit pas plus longtemps. Le regard dans le sien, la tête légèrement penchée de côté, il lui sourit en faisant passer dans son regard la tendresse qu'elle lui inspirait. D'une voix douce et tranquille il s'adressa à elle :

- "Edwinéa... voyons ce cadeau."

" Le quoi ? "

Dit elle surprise, puis visiblement soulagée, inconsciemment elle redresse la tête dégage légèrement ses épaules.
Elle était telle un hérisson, dés qu’on le pique il se met en boule puis une fois le danger passé les épines laissent place à un joli minois.
Prise au dépourvue par la réaction de CrileLoup, elle regarde le paquet rempli de viande ouvre la bouche sans que mots n’en sortent.
Elle regarde Eche se reprend …

" Et bien heu … inutile de faire languir le gourmand plus longtemps …"

Voilà c’était tout ce qu’elle avait réussi a dire, elle regarde CrileLoup et sourit.

- "Hé hé, regarde ça mon gros ! Non, pas la viande, le sourire !"

Le barde regarde Edwinéa avec des yeux rieurs. C'était plus fort que lui : il fallait qu'il taquine !

Que ça soit l'odeur libérée à l'ouverture du paquet, le bruit du papier froissé ou les deux à la fois, il n'en fallut pas plus à l'énorme lion pour trouver la motivation à soulever sa lourde carcasse. Anticipant le coup de patte fatidique qui allait lourdement lui arracher la viande des mains, le chasseur jeta au fauve un regard autoritaire qui le fit se tenir coit.

- "Tout doux mon beau, tout doux." prononce-t-il d'une voix calme. "Voulez-vous lui donner Edwinéa ?"

Joignant le geste à la parole il tend le paquet à sa future amie avec un sourire encourageant. Le regard avide du félin ne quitte pas le paquet des yeux un seul instant.

- "Je suis sûr qu'il appréciera. S'il aimait la chair d'Elfe vous savez... il y a longtemps qu'il m'aurait goûté moi !" ajoute-t-il rieur, désireux de chasser toute crainte éventuelle.

Heureux de constater que la tablée s'était agrandie, Eraentil posa à chaqun des questions sur le monde, un monde si vaste , et qu'il devait découvrir a nouveau.

Citation :

Je me suis réveillé dans un monde en guerre, et j'ai perdu l'éspoir de le voir réunifié, mais j'ai découvert que je n'étais pas du tout le seul a me soucier de la paix, et je suis heureux de vous avoir tous rencontrés

Eraentil se leva et glissa un mot a bruuk qui annonca une tournée, l'elfe retourna a sa table et leva son verre :

Citation :

A la paix !

Visiblement plus en confiance avec les annimaux qu'avec les hommes, elle saisit le paquet, s'agenouille et tend la viande à Eche.
Elle n'en espèrait pas autant, certains maîtres n'apprécient pas qu'autrui puisse nourrir leurs annimaux mais visiblement CrileLoup n'était pas de cela pour son plus grand plaisir.


" Allons mon beau régale toi, c'est fait pour "

Dit elle d'une voix affectueuse

Les yeux brillants Melynn saisit la choppe que lui tendait Bruuk,

La jalousie de Feare la faisait sourir ...
Les taquinerie de Crileloup la faisait rire ...
L'annonce d'une tournée semblait la ravir ...
Et les clameurs du jeune elfe la fire tresaillir ...

Melynn se dressa sa choppe a la main : "A la paix !"

"Tu as decidement frappé a la bonne porte Eraentil" dit-elle en trempant ses levres dans sa choppine de grog.

Melynn