Vent d’amour

La douce voix de elfe la berçais agréablement alors qu’elle venait de s’assoire sur la chaise
« Tu doit te reposée Isnarel, tu en as besoin. »
Elle murmura un faible « oui »

La tête dans un écrin de coton le cœur entourer de pétale de roses elle ferma les yeux en souriant accueillent le sommeil avec bonheur

Une grande étendue d’eau, elle vole avec le vent au dessus de la mer.

Le ciel azur l’accueille avec tendresse alors que les nuages caresses son corps comme les douces paroles prononcer avant qu’elle s’endorme.
Elle est heureuse, le soleil la réchauffe comme les simples mots ont réconforté son cœur.

Elle passe au reflet de lune, dans la nature sauvage elle aperçoit son père avec une elfe qu’elle connais bien, elle sais pourquoi elle a toujours acceptée qu’ils soient ensemble, ils sont heureux eux aussi.
Elle fait plus que partager leur bonheur, elle le comprend maintenant, bien plus qu’elle n’aurait imaginée.

Les hautes montagne enneigés, elle revoie Gwenn parler d’un autre elfe, elle l’aimait et à cause de cela elle lui a rendue sa liberté.
Son instinct lui a soufflé une décision d’amour et non pas un acte égoïste.

Étrange sa réaction envers l’autre, elle l’aimait aussi, mais plus comme un frère, un autre cœur sauvage, elle était à même de mieux le comprendre qu’il ne se comprend lui-même alors qu’il est bien plus âgé.

Mais les bonds de son instinct quand au protecteur d’Astraanar lui ont enlevé tous doutes, avec lui c’est plus profond, plus intense…
Un nuage passe obscurcissant un bref instant la lueur du soleil, ce sentiment était il partagé ?

Pensive je rentre dans la taverne, j'allais m'asseoir à une table lorsque j'aperçois Isnarel.
Je me remémore alors notre première conversation au lac après notre baignade, je souris.
Je reste près d'elle sans bouger pour ne pas la réveiller, elle a l'air sereine, en paix, au moins dans les bras de Morphée elle ne souffre pas ... enfin j'espère.

La lune était déjà haute dans le ciel, et pourtant l'elfe ne parvenait pas a trouver le sommeil. Les sons, les images, les souvenirs, tourbillonnaient dans son esprit, en un formidable chaos, sans qu'il puisse parvenir à s'éclaircir les idées.

Cette folie qui s'était emparée d'Azeroth l'avait elle aussi contaminé?
Une image, plus nette que les autres, ne cessait de réapparaître devant ses yeux, et a sa vue, il ne pouvait s'empêcher de sourire, comme un adolescent : celle d’une jeune elfe aux cheveux de verdure.

Cela faisait six mois a présent, que la voleuse a qui il avait donné son cœur lui avait rendu son présent, le brisant par la même occasion. Toutes les blessures finissent par guérir un jour, parait il. Ce jour était il arrivé pour celle-ci ?

Un sourire aux lèvres, l’elfe finit par fermer les yeux, et glissa doucement dans le royaume de la dragonne d’émeraude.