Un soleil rayonnant.
Ça et là des îlots de végétation luxuriante attestent des grandes nappes phréatiques souterraines de ce semi désert.
Malgré la chaleur peu de troupeaux sont visible, l’hiver est là.
Les pattes couvertes de fourrures effleurent le sol en soulevant un nuage de la poussière de la route des Tarrides, le félin file dans le vent, depuis qu’il a quitter Ratchet il ne s’est pas arrêter une légère écume c’est formée sur son pelage, gouttes d’eau qui s’envole dans le vent très vte absorbé par l’air chaud.
Ses yeux sont voilés, le félin court vers le sud.
La jungle…..
Un souffle de vent rafraîchissant fait vibrer les feuilles des palmiers avec une douce musique qui se mêle au chant des colibris.
Au loin le bruit cristallin d’une cascade rafraîchie par avance les voyageurs.
*FFZZZZOUCHH*
La boule de flamme traverse les feuillages, laissant sur les plantes un grésillement vite étouffée par le crie de la Tauren touchée de plein fouet.
Un autre projectile suit le même chemin, la Tauren tente de se dégager, prenant une arme pour se défendre, quand ses jambes sont prises dans la glace.
Blessée mortellement elle regarde l’humain qui s’approche tranquillement, une nouvelle boule de flamme en formation dans ses paumes.
Une larme coule aux bords des yeux de la promeneuse si tranquille avant d’être vaporisée par la sphère de flammes qui met fin à sa vie.
Alerté par le bruis Isnarel bondie des fourrés top tard pour faire autre chose qu’assister à la fin de l’exécution, elle avait croisée la Tauren quelques temps avant, et l’avait saluée sans recevoir de réponse, mais elle était passée en paix.
« Pourquoi ! pourquoi avoir attaquer la Tauren ? »
Le mage dévisage l’elfe surpris de la question.
« Elle avait une sale gueule ! »
« Mage humain a tuée la Tauren parce que elle était différente ? »
L’humain hausse les épaules comme si l’incident était déjà oublié.
Isnarel sent la fragile barrière construite avec les humains se détruire, une chose s’impose aucuns humains ne pourra jamais accepter les gens différents.
Elle entend le serpent se rapproché, elle sait ce qu’il va lui dire, elle ne veut pas l’écouter.
Le Félin prend le dessus et part loin de la jungle poison pour sa raison.
……………………….
L’oasis est en vue, la dernière avant les montagne arides, le félin le sais, il se stop près de l’eau brièvement, il reprend une forme elfique, plus pratique pour boire.
Les odeurs de l’oasis lui sont familières, acier, sueur et tissu, de bien piètres chasseurs l’observe.
A peine a-t-elle fini qu’elle reprend une forme féline et s’élance a nouveau vers le désert.
Un des chasseurs surgis à droite, suivit de ces amis, ils tentent de la stopper…
Quelques minute plus tard elle galope a nouveau dans le sable, ce soir les femme pleurerons leurs compagnon et leurs famille décimé et les plantes aurons finie de se nourrirent du sang des infortuné.
Les montagnes sont en vue, le garde Tauren est surpris de voir la poussière mais il a les réflexes vifs et saisie son armes pour la stopper, elle l’esquive passant habillement entre ses jambe et bondie sur la plateforme qui descend.
Elle rebondie sur le tissu ses griffes déchirant le toit et atterrie souplement sur le sol.
A peine rétablie elle se remet à galoper dans les milles pointes jusques portes du désert de sel.
L’étendue la défie, elle n’a pas peur et là bas au loin deux chants se font entendrent.
Là bas il y aura peut être des réponses...
S’ébrouant pour chasser la sueur de son pelage, elle s’élance…